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Interview d'Eric Cazenave

9/5/2021

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Bonjour Eric ! Je vous remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande d’interview.
   Pouvez-vous vous présenter s’il vous plaît ?
Je m’appelle Eric Cazenave, je viens d’atteindre l’âge canonique de 42 ans. Je suis originaire des Hautes-Pyrénées. Je vis actuellement à Bordeaux avec mon épouse et mon fils. Nous partageons notre maison avec Scratch, une sympathique pigeonne apprivoisée que nous avons recueillie toute jeune alors qu’elle s’était cassé une aile en tombant de son nid.
  • ​Pouvez-vous nous parler de votre roman à paraître « Les Loups de Prusse » ?
Il s’agit d’un roman à mi-chemin entre roman policier, historique et fantastique. L’intrigue se déroule à Paris en 1888, l’année où débuta la construction de la célèbre tour Eiffel, mais dans un univers alternatif où les êtres humains vivent en harmonie avec des créatures issues de nos légendes, en particulier les vampires.
Dans cet univers, la magie existe bel et bien. Elle côtoie la technologie à vapeur poussée à son paroxysme. On se déplace sur des chevaux mécaniques, les invalides de guerre sont affublés de prothèses bioniques et de sinistres machines crachent une épaisse fumée noire qui obscurcit le ciel afin que les vampires puissent déambuler le jour.
Au début de notre histoire, nous faisons la connaissance d’Armand Chasseloup, inspecteur à la brigade spéciale de la Sûreté, une unité chargée de faire la lumière sur les affaires extraordinaires. Chasseloup enquête sur l’assassinat d’un notable de haut rang qui comme lui était un vampire. Tout accuse la prostituée avec qui il a passé la nuit.
Parallèlement à cela, nous rencontrons Antoine de Beauterne, vétéran des guerres franco-prussiennes de 1870 (et magnifiquement représenté par Fabrice Bertolotto sur l’illustration de couverture). Beauterne se lance sur les traces d’une jeune fille disparue. Ses pas le conduiront jusqu’à Pigalle, où prostitution et vampirisme vont de pair.
Les deux hommes finiront par se rencontrer. Ils seront confrontés à des enjeux qui les dépassent, entre complot anarchiste, conspiration de l’Église et horreurs cosmiques issues des cauchemars les plus insensés. Ils pourront compter sur des alliés hauts en couleur ; un scientifique aussi fou que génial, un homme-loup sans pareil pour renifler les pistes, ainsi qu’une exubérante sorcière.
  • Comment avez-vous eu l’idée d’écrire « Les Loups de Prusse » ?
Dès le prologue, le principal antagoniste découvre une vérité ancestrale dans un grimoire maudit. C’est une vérité si déconcertante qu’elle va bouleverser à jamais sa vision du Monde et l’inciter à commettre des actes ignominieux. Pour l’arrêter, les autres personnages du roman vont devoir découvrir quelle est cette fameuse vérité. Bien sûr, je ne peux pas en dire plus ! Mais c’est autour de cette idée de base que j’ai bâti mon intrigue.
En outre, je voulais écrire une histoire qui dépayse le lecteur tout en lui fournissant des points de repère familiers plutôt que de l’entraîner dans un univers totalement fictif. C’est le Paris de 1888, mais avec des vampires et de la magie ; c’est du Zola à la sauce Lovecraft saupoudré d’éléments steampunk. Un improbable mélange !
  • Avez-vous un personnage que vous souhaitez nous présenter ? Et qu’aimeriez-vous lui dire ?
Antoine de Beauterne est sans doute le personnage le plus charismatique du roman. Imaginez un colosse sexagénaire affublé d’un impressionnant bras prosthétique, une vraie force de la nature ! Et aussi peu causant qu’une porte de prison, avec ça ! Beauterne a vécu des choses terribles, mais il ne manque pas de ressources. Il réserve de nombreuses surprises au lecteur.
Si je le rencontrais pour de vrai ? Je lui dirais de se préparer au pire, car dans « Les loups de Prusse », il va être confronté à un adversaire redoutable, un adversaire à sa hauteur…
  • Mon personnage préféré est Ysengrin. En avez-vous un que vous préférez dans votre livre ? Si oui, pourquoi ?
J’éprouve moi aussi beaucoup de sympathie pour Ysengrin. Sous ses faux airs d’ours mal léché, il dissimule un grand cœur. C’est ce qui le rend si attachant. Et puis, il peut se transformer à volonté en loup humanoïde ce qui est quand même hyper classe ! 
  • Le crowfunding pour les Loups de Prusse est un véritable succès, que ressentez-vous face à cet engouement et cette réussite ?
Effectivement, l’objectif que nous nous étions fixé sur Ulule a été largement atteint. Je suis à la fois soulagé et angoissé ; soulagé que la campagne de financement se soit si bien déroulée ; angoissé car j’espère sincèrement que le roman plaira et tous ceux qui nous ont soutenus.
  • Un message pour les contributeurs ?
Sans eux, ce projet n’aurait pas abouti. Je leur adresse un immense merci. Ils sont nombreux ! Les membres de ma famille, mes amis, les passionnés de l’imaginaire rencontrés au détour des réseaux sociaux, ainsi que tous ces anonymes qui ont cru en ce projet. J’espère que le livre sera à la hauteur de la confiance qu’ils m’ont accordée.
  • Depuis quand écrivez-vous ?
J’écris depuis une douzaine d’années. J’ai à mon actif deux romans SF autoédités, un autre qui attend son tour dans mon disque dur, ainsi que plusieurs nouvelles plus ou moins abouties.
  • Pour vous, être auteur est plus un métier ou une passion ?
À mon sens, les deux à la fois même s’ils sont rares, les auteurs ayant la chance de vivre de leur plume. Écrire un roman, ça demande du temps (beaucoup de temps !) de l’investissement, de la patience, de la motivation, de la régularité. Les choses ne s’arrêtent pas là : il y a aussi le travail de relecture et de correction à ne pas négliger ainsi que la promotion du livre qui est essentielle pour faire connaître son œuvre. En ce sens, écrire est un vrai travail, il faut énormément de passion et de détermination pour mener tout cela à bien. Bref, c’est un « métier-passion » !
  • Parlez-nous de vos passions…
Elles sont nombreuses ! Il y a l’écriture et la lecture, bien sûr. Je dessine un peu. J’adore la randonnée, en particulier sur les sentiers de mes Pyrénées natales. Je pratique la self defense et le jiu-jitsu brésilien. J’en profite pour saluer mes camarades de l’académie Pythagore de Bordeaux ainsi que mon Mestre, Emmanuel « Pythagore » Fernandez.
  • Avez-vous toujours rêvé de devenir auteur ? 
C’est venu à l’adolescence lorsque j’ai vraiment commencé à m’intéresser à la littérature. J’ai longtemps pensé qu’écrire un livre était une épreuve insurmontable. En réalité, rien n’est insurmontable, c’est aussi valable pour l’écriture que pour n’importe quel aspect de la vie. La clé de la réussite : la volonté, le travail et la persévérance. 
  • Avez-vous des rituels d’écriture ?
J’écris essentiellement le matin. Je m’enferme dans ma petite bulle musicale, et c’est parti ! Vers midi, je m’accorde une petite séance d’entraînement suivie d’une pause repas. Je continue un peu l’après-midi. En règle générale, j’écris entre 2 et 5 pages par jour, rarement plus.
  • Avez-vous un objet fétiche ?
Mon carnet d’écriture sur lequel je griffonne mes idées, la structure de mes chapitres, tout ce qui me vient à l’esprit. Il contient aussi quelques esquisses. Je le laisse au pied de mon lit au cas où j’aurais besoin d’y noter quelque chose durant la nuit. 
  • Faites-vous lire vos romans à votre entourage ? Si oui, appréhendez-vous leurs réactions ?
Mon épouse Paméla est ma première bêta-lectrice. Je n’appréhende jamais de lui soumettre mes textes car elle est toujours de bon conseil. C’est une passionnée d’Histoire, elle m’a beaucoup aidé à rendre le contexte historique des loups de Prusse plus crédible.
  • D’où vous vient votre inspiration ?
Je la puise un peu partout ; dans mes lectures, au cinéma, dans les jeux vidéo, dans ma vie quotidienne…
L’influence d’Howard Phillips Lovecraft est trop évidente pour être passée sous silence. Le thème de l’horreur cosmique jadis bannie loin de la Terre et qui cherche par tous les moyens à y retourner est l’un des thèmes récurrents de son œuvre. C’est une idée que l’on retrouve aussi dans mon roman.
  • Avez-vous un modèle ?
Pas vraiment. Évidemment, il y a des personnes que j’admire, mais en règle générale, je préfère m’affranchir des modèles. J’essaie simplement d’être moi-même, d’écrire les histoires que j’aimerais lire.
  • Quels sont vos genres de livres préférés ?
Je lis vraiment de tout ; roman noir, roman historique, littérature contemporaine, horreur, poésie, bandes dessinées… J’ai quand même une préférence pour la littérature de l’imaginaire, au sens large du terme. 
  • Quels sont vos auteurs et romans préférés ?
Il y en beaucoup ! Quelques ouvrages qui m’ont marqué (liste non exhaustive) : « Ça » de Stephen King, « Les guerriers du silence » de Pierre Bordage, « Les Fleurs du mal » de Charles Baudelaire, « Les montagnes hallucinées » de H.P. Lovecraft, « La pierre et le sabre » d’Eiji Yoshikawa, « Le voleur de vent » de Frédéric Fajardie, « Le cycle des princes d’Ambre » de Roger Zelazny, « Les lames du cardinal » de Pierre Pevel, « Dune » de Frank Herbert…
  • Si vous pouviez passer une soirée avec un auteur qui serait-il ? Que feriez-vous avec ?
J’aurais adoré connaître Jules Vernes. C’était un auteur visionnaire doublé d’un grand humaniste. Bien des choses qu’il a décrites dans ses romans font aujourd’hui partie de notre quotidien. Si j’avais la chance de le rencontrer aujourd’hui, je lui dirais toute l’admiration que j’éprouve pour son œuvre.
  • Avez-vous d’autres projets d’écriture ?
Mon prochain roman s’intitule « La relique des songes ». Il devrait paraître en automne 2022 aux éditions Crin de Chimère. Il se déroulera dans le même univers que celui des loups de Prusse, mais pourra se lire indépendamment. On y retrouvera les personnages emblématiques du premier tome ainsi que de nouveaux qui vous réserveront bien des surprises !
  • Malgré les circonstances et le futur incertain, y a-t-il déjà des salons du livre prévus pour vous ? Où aurons-nous la chance de vous rencontrer ?
Je devrai être présent aux Aventuriales de Ménétrol les 25 et 26 septembre prochains, ainsi qu’au salon L’Encre et les mots de La Rochelle du 12 au 14 novembre 2021. Je n’ai encore jamais participé à ce genre d’évènement, j’ai vraiment hâte !
  • Avez-vous un message pour vos (futurs) lecteurs ?
Un livre n’a de raison d’être que lorsque quelqu’un se donne la peine de le lire. Ce sont les lecteurs qui donnent vie aux personnages par le biais de leur imagination. Je les remercie de m’accorder un peu de leur temps et je leur souhaite un bon séjour en 1888 !

Je vous remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Vous pouvez déjà retrouver ma chronique sur Les Loups de Prusse! 

Si vous souhaitez participer à la campagne de financement participatif du roman Les Loups de Prusse, vous avez jusqu'au 10 septembre 2021 à 23h59. Suivez ce lien: 
https://fr.ulule.com/les-loups-de-prusse/​


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Interview de Joël Bastin

6/1/2020

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 Bonjour Joël ! Comme vous le savez, vous êtes le dizième auteur à vous faire interviewer. Je vous remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.
  • ​  Pouvez-vous vous présenter, s’il vous plaît ?
  • Joël BASTIN, kinésithérapeute indépendant, marié et papa de deux enfants. J’habite la région namuroise. L’écriture est une de mes passions et je suis l’auteur de deux romans : CONTEMPLOR et SPIRALE.
  • Qu’est-ce qui vous a décidé à vous lancer dans la publication de votre premier roman ? 
Lorsqu’on est passionné par quelque chose, on a envie de partager cette passion. Vouloir publier son roman, c’est donc d’abord souhaiter recueillir l’opinion de celles et ceux qu’on invite à entrer dans son univers. C’est aussi espérer que le lecteur prendra autant de plaisir à la lecture que l’auteur en a ressenti à l’écriture. Et enfin désirer publier son roman, c’est aller au bout des choses et ne jamais renoncer. 
  • Pouvez-vous nous parler de votre second roman SPIRALE?
SPIRALE est qualifié de thriller psychologique et le style est décrit comme cinématographique ou « feuilletonnant », parce qu’une série de rebondissements se produisent pour maintenir le suspense. Il a été dit aussi que le lecteur est « capturé dans la toile narrative ». L’histoire est tendue entre deux piliers : l’un est la synergologie (analyse du langage corporel, non verbal), l’autre les crypto-monnaies (monnaies virtuelles comme le bitcoin). Ces deux thèmes sont présents tout au long de l’histoire et apportent un éclairage particulier sur la scène de l’intrigue. Et notamment à propos de la synergologie, lorsqu’on a lu mon roman, on ne regarde plus jamais ses semblables de la même manière …. L’histoire : une affaire non résolue depuis 10 ans, qui revient à la surface et emmène tous les personnages dans une spirale d’événements qui va chambouler leur vie. Si la trame de l’intrigue est fictive, tous les éléments qui soutiennent l’action sont rigoureusement exacts. Les faits ne sont pas réels mais le décor l’est totalement : toutes les informations sociétales, financières, économiques, les lieux, les observations sur la manière de communiquer, sont la stricte réalité. J’ai voulu procéder ainsi pour donner de la consistance au roman et pour qu’une fois terminé par le lecteur, il laisse une trace indélébile et interpellante dans l’esprit de chacune et chacun. 
  • Qu’avez-vous ressenti lors de la publication de votre premier livre ?
Une sensation de plaisir, d’aboutissement, d’exaltation et d’impatience à connaître l’avis des lecteurs.
  • Avez-vous un personnage que vous souhaitez nous présenter de l’un de vos romans ? Et qu’aimeriez-vous lui dire ?
Dans le premier roman (CONTEMPLOR), ce serait Stanley KOURSOV, le pianiste, parce qu’il représente un rêve pour moi : celui de pouvoir jouer du piano de manière professionnelle (et non en tant qu’amateur comme moi) et d’ainsi côtoyer intimement le monde fascinant des grands compositeurs classiques. Je lui dirais que la musique est un chemin de vie privilégié et qu’il a la chance de l’emprunter, d’être le messager d’une valeur universelle d’humanisme et qu’il doit surtout continuer à nous faire profiter de son talent.

Dans le second roman (SPIRALE), je choisirais Pauline, informaticienne, parce qu’elle est l’illustration de ce que la nature humaine peut faire de mieux en matière de résilience et de survie lorsque les circonstances sont difficiles. Je lui dirais que je salue l’exemple de son parcours de vie et que je lui souhaite de profiter au maximum de la belle éclaircie qui illumine son existence.         
  • Improvisez-vous au fil de l’histoire ou connaissez-vous la fin avant d’écrire ?
Je ne connais pas à l’avance la fin de l’histoire, ni d’ailleurs les multiples péripéties qui rythment le roman. Je me laisse porter par l’inspiration et les idées qui fusent au gré de ce que j’écris. Je me relis souvent avec un esprit critique, afin de conserver ou de modifier le déroulement de l’action.  
  • Depuis quand écrivez-vous ?
Mes premiers souvenirs d’écriture remontent à la troisième année de latin-math. J’avais 14 ans. Mon professeur de français et d’histoire m’avait demandé si je pouvais rédiger un compte-rendu du voyage à Rome que nous avions effectué durant les vacances de Pâques. Je me suis pris au jeu de réaliser, avec les moyens de l’époque, une présentation avec diapositives, fond musical approprié et un texte narratif de nos diverses péripéties de voyage ainsi qu’un descriptif des sites visités. J’y ai pris un plaisir fou et me souviens des mots du professeur : çà, c’est un beau travail ! Depuis cette époque, j’ai toujours été habité par le désir d’écrire, mais mon métier de kinésithérapeute accaparant la quasi-totalité de mes journées, je n’avais jamais trouvé le temps d’écrire un roman. Puis cette passion étouffée devenant plus présente, je me suis lancé en 2015.
  • Que représente l’écriture pour vous ?
Un fantastique exutoire permettant d’explorer la nature humaine et de la confronter au monde imaginaire. Le monde est trop étroit, il est bon d’en inventer un autre : il est extraordinairement excitant de créer des individus, de leur attribuer des caractères physiques, d’imaginer leur personnalité, d’interférer dans leurs sentiments, d’avoir le droit de dicter leur vie, bref d’en faire ce qu’on veut. C’est très amusant d’écrire, on peut bousculer les convenances, on peut tout imaginer, tout faire, ou presque. C’est un fabuleux sentiment de liberté où les seules limites, c’est le romancier qui les fixe.
  • Avez-vous des conseils pour les lecteurs qui rêvent de devenir écrivain ?
Il y en aurait plusieurs :
  1. il faut trouver du plaisir à écrire mais aussi s’imposer un niveau d’exigence particulièrement élevé tant pour le fond que pour la forme
  2. il faut croire en soi, ne jamais renoncer, toujours se battre avec énergie, fougue et conviction, frapper aux portes, envoyer des dizaines de manuscrits aux éditeurs
  3. et enfin, il convient d’être patient, d’utiliser son réseau privé et professionnel, de rester optimiste et de prendre un maximum de conseils avertis.
  • D’où vous vient cette passion ?
J’ai toujours aimé écrire, décrire les choses en choisissant les mots adéquats. Chaque individu possède des capacités innées et un cerveau articulé sur des points forts et des points faibles. J’aimais les dissertations, j’aime écouter des débats de qualité, bref je suis plus littéraire que scientifique malgré mon parcours d’études. Et puis, mes parents sont des enseignants pensionnés, papa était professeur de français et m’a alimenté en lecture dès mon plus jeune âge.  
  • Parlez-nous de vos autres passions…
Je suis passionné par la vie et tout ce qui la rend agréable. J’ai donc beaucoup de passions : la lecture, la musique, le sport, les voyages.
  • Avez-vous toujours rêvé de devenir auteur ? 
Je dirais oui, pour le plaisir de créer quelque chose qui reste.
  • Avez-vous des rituels d’écriture ?
Pas vraiment. Je peux facilement créer un isolement intellectuel me permettant d’écrire partout : dans un avion, chez moi, à l’extérieur, … Mais en effet, certains moments sont privilégiés comme en soirée par exemple ou le dimanche après-midi au soleil sur la terrasse.
  • Avez-vous un objet fétiche ?
Je pense être sentimental et pouvoir accorder de l’importance au cadeau d’un proche, comme un bic par exemple. Il m’arrive de choisir un stylo pour les dédicaces en pensant à celle ou celui qui me l’a offert.
  • Faites-vous lire vos romans à votre entourage ? Si oui, appréhendez-vous leurs réactions ?
Oui, par mon épouse, mes parents et notamment pour la chasse aux fautes d’orthographe et aux coquilles. Appréhension ? Oui un peu et notamment sur la question de savoir « mieux ou moins bien que le précédent ? »
  • D’où vous vient votre inspiration ?
Heureusement, je pense qu’il y a plusieurs sources d’inspiration. Dans la vie de tous les jours, il y a les comportements, les remarques des gens qu’on croise ou les situations que l’on rencontre. Puis il y a aussi le vécu, les rêves, les fantasmes, les envies et les idées folles qu’on ne pourra jamais réaliser et qui peuplent l’esprit de tout un chacun. Il y a les événements qui se produisent à travers le monde et que l’on peut utiliser ou à partir desquels on peut extrapoler en modifiant le cours des choses. La difficulté pour moi est de trouver la trame du roman, le fil conducteur qui devra tenir tout au long du récit, parce qu’il convient, me semble-t-il, de ne pas articuler l’histoire d’un thriller autour d’un thème récurrent. Et la véritable inspiration se situe à ce niveau : trouver l’idée innovante qui constituera la colonne vertébrale du roman.  
  • Avez-vous un modèle ? 
Il y a plusieurs auteurs que j’admire pour la maîtrise et l’ingéniosité avec laquelle ils écrivent. Ils constituent des exemples pour moi et ma volonté est non pas d’écrire comme eux mais de me rapprocher le plus possible du niveau d’exigence avec lequel ils réalisent leur œuvre.
  • Quels sont vos genres de livres préférés ?
Les thrillers pour le côté divertissant, les romans historiques pour l’éclairage qu’ils apportent sur certains faits de notre histoire et aussi tous les livres qui amènent à se poser des questions, qui interpellent au sujet d’une thématique particulière, d’une technique spécifique ou encore qui comportent une dimension psychologique permettant d’observer la nature humaine tellement diversifiée.  
  • Quel est vos auteurs et livres préférés?
J’aime beaucoup Ken FOLLETT et ses romans historiques en trilogie. Je me souviens aussi d’un auteur, James REDFIELD, car depuis la lecture de son roman « La Prophétie des Andes », je prête davantage attention aux coïncidences et aux synchronicités parce qu’il se pourrait qu’elles soient une des facettes du sens de la vie. Et enfin, Laurent GAUDE qui a obtenu le prix Goncourt en 2004, et on comprend vraiment pourquoi car le livre est un chef d’œuvre. 
  • Si vous pouviez passer une soirée avec un auteur qui serait-il ? Que feriez-vous avec ? 
Ken FOLLET car je suis sûr qu’il a des tas de choses intéressantes à raconter. Je lui demanderais notamment où il puise son inspiration prolifique.
  • Avez-vous d’autres projets d’écriture ? 
Oui, le troisième roman commence à émerger des brumes de mon imagination.
  • Des salons du livre déjà prévus pour vous ? Où aurons-nous la chance de vous rencontrer ?
Le Covid-19 a provoqué une véritable paralysie dans le réseau du livre, y compris donc pour tous les événements qui en font habituellement la promotion. En fonction de l’évolution de la pandémie, je reste attentif aux Salons et Foires du Livre en Belgique et en France et j’espère pouvoir, dans le futur, prendre part, à ceux qui ont été annulés en 2020 et aussi à ceux auxquels j’ai participé avant les mesures de confinement et dont les photos sont reprises sur mon site www.joelbastin.be
  • Avez-vous un message pour vos lecteurs ?
Oui ! Ne vous arrêtez jamais de lire, lisez beaucoup et alimentez vos enfants, dès le plus jeune âge en livres de toutes sortes. Ici, c’est le kiné qui parle : diverses études médico-scientifiques ont prouvé que la lecture stimule le cerveau, qu’elle accroît le vocabulaire, qu’elle améliore la mémoire, la connaissance, l’argumentation, la capacité d’analyse, la concentration, qu’elle réduit les risques de la maladie d’Alzheimer, qu’elle diminue le stress et apaise l’esprit, et qu’elle recèle beaucoup d’autres bienfaits encore. Lire est donc un facteur qui contribue à une bonne santé et cette action pourrait être médicalement prescrite pour une utilisation régulière, indépendamment de l’âge et de la profession de chacune et chacun.

Je te remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Joël: 
Merci de cet interview. Prenez soin de vous. Cordialement, Joël BASTIN, 06 mai 2020.

Vous pouvez dès à présent retrouvez mes chroniques sur CONTEMPLOR et SPIRALE.

1 Commentaire

Interview de Florina l'Irlandaise

5/31/2020

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Bonjour Florina! Je vous remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.
  •      Pouvez-vous vous présenter, s’il vous plaît ?
  • On m’appelle Bond… Euh Pardon, je m’égare lol, donc je suis Florina L’Irlandaise, Auteure de la saga Féerélia et de « Cours après moi la poisse ! Zut, elle est devant » qui est sorti en avril.
  • Qu’est-ce qui vous a décidé à vous lancer dans la publication de votre premier roman ? 
 Mes filles, elles ont lu mes premiers écrits et elles m’ont défié de me publier.
  • Pouvez-vous nous parler de votre premier roman ?
 Oula vaste sujet que celui-ci. Féerélia est un monde créé par deux dieux : Macha et Dagda afin de protéger les peuples de Morrigann ainsi que des autres dieux qui composent leur cercle. Contre toute attente, ils tombent amoureux l’un de l’autre et de cette union va naître Moïra. Et c’est sa vie, ainsi que ses aventures à elle et sa famille que nous suivons au cours des tomes.
  • Qu’avez-vous ressenti lors de la publication de votre premier livre ?
 Humm. Une incompréhension, que je ressens toujours d’ailleurs, à chaque fois que l’on me dit : « j’adore ton roman » pas que je me déprécie, mais ça reste quasiment surréaliste pour moi . Puis, comme un câlin fait par vos enfants ou quelqu’un de cher à votre cœur. Je ne suis pas sûre qu’il existe un mot assez fort pour le décrire.
  • Pourquoi avoir choisi l’autoédition ?
 C’est un choix mûrement réfléchi, je ne voulais pas que l’on puisse toucher à ce que je considère comme mon enfant. Ni que l’on me donne des ordres, j’ai un peu de mal avec l’autorité lol.
  • Parmi tous les tomes de la saga Féerélia déjà publiés, en avez-vous un préféré ?
 Au départ, je pensais le deux bien que le tome 1 et 3 je les aime aussi, mais c’est différent. J’ai pleuré à la fin du deuxième, je ne voulais pas les quitter. Mais finalement, j’ai bien aimé écrire le tome 4, je me suis attachée aux garçons, à leur façon de penser différente d’une femme, mais tout en restant assez proche. C’est assez difficile à expliquer, mais même si j’adore tous mes tomes, je pense que ce sont ces deux-là en particulier qui m’ont touché.
  • Avez-vous un personnage que vous souhaitez nous présenter ? Et qu’aimeriez-vous lui dire ?
 Humm🤔, je pense à Ciara. Une femme forte, intransigeante qui semble indépendante et qui finalement a tellement d’amour à donner. Je voudrais la remercier d’être dans ma vie, de m’avoir protégé lorsque j’étais enfant. Car ce monde je l’ai d’abord créé pour me protéger moi-même, grâce à elle et à Moïra, ainsi que tout le monde de Féerélia, je ne suis pas devenue folle. Je n’étais pas seule, j’avais des amis, mais surtout des protecteurs, puisque leurs vies avaient été aussi dure que la mienne. Enfin bref, merci 💖
  • Depuis quand écrivez-vous ?
 Comme je l’indique sur la question d’avant, j’ai créé ce monde lorsque j’étais enfant. J’écris depuis mes six/sept ans, je dirais.
  • D’où vous vient cette passion ?
 Je ne sais pas, j’ai toujours vue ma mère lire depuis que je suis née, et j’avais je crois besoin de coucher sur papier toutes les idées qui se bousculaient dans ma petite tête 😉.
  • Parlez-nous de vos autres passions…
  Mes enfants et mon mari sont mes principales ainsi que ma famille et mes amis. Je suis quelqu’un de solitaire, mais qui a besoin de savoir ses proches heureux. La cuisine, ça me vide la tête, la danse même si je ne pratique plus pour raison de santé idem pour la peinture et le dessin. Le chant, ma grand-mère était chanteuse d’opérette, je crois que c’est d’elle que je tiens cette envie de chanter tout le temps 😊. Et la lecture, plus qu’une passion, c’est un besoin. Je dois lire, peu importe ce qui me tombe sous la main d’ailleurs 🤣.
  • Avez-vous toujours rêvé de devenir auteur ? 
  Non je voulais être pilote de chasse. Rien à voir donc lol.
  • Avez-vous des rituels d’écriture ?
  À bien y réfléchir, non car j’allais dire il me faut de la musique, mais finalement il m’arrive d’écrire sans.
  • Avez-vous un objet fétiche ?
  Mes bijoux, pour la plupart offert par mon homme et mes enfants. Mes dragons, je fais collection comme les mp et un genre de petit lutin que m’a réalisé une de mes sœurs, il y a des années de cela.
  • Faites-vous lire vos romans à votre entourage ? Si oui, appréhendez-vous leurs réactions ?
  Alors oui, mes filles sont mes premières bêtas ensuite ma mère. Et oui et non, je me dis toujours : elles vont dire que c’est nul 🙄😅.
  • D’où vous vient votre inspiration ?
  Sincèrement, je ne sais pas. Ma tête fourmille d’idées comme si j’étais un serveur qui ne pourrait jamais s’éteindre.
  • Avez-vous un modèle ?
  Je dirais les femmes de ma famille. Que ce soit ma mère, ma tante, ma grand-mère ou mon arrière-grand-mère et ses sœurs, j’espère qu’elles sont fières de moi. Et si un jour, on me dit que j’ai un cinquième de leur courage et de leur force d’esprit alors je serais aux anges.
  • Quels sont vos genres de livres préférés ?
  Je n’ai pas de genre en particulier, je lis de tout même le code civil, l’annuaire téléphonique mdr.
  • Quels sont vos auteurs et romans préférés ?
  Oula va pas y avoir assez de place là je dirais en vrac pour l’ensemble de leurs œuvres et désolée si je vous oublie : Léa Trys, Elodie Belfanti, Shana Keer, Bettina Nordet, Meropee Malo, SG Horizon, Chani Brooks, R.B. Devaux, Rime de Bervury, Ana K. Anderson, Anna Triss, Blandine P. Martin, Laurence Chevalier, Barbara Cartland, Nora Roberts, Patricia Briggs, Anita Rigins, Ena L., et la liste pourrait être encore plus longue 😉.
  • Avez-vous d’autres projets d’écriture ? 
  Oui, Daemonuis que j’écris actuellement sur Wattpad ainsi que jour après jour et bien entendu la suite des aventures de Féerélia.
  • Des salons du livre déjà prévus pour vous ? Où aurons-nous la chance de vous rencontrer ? (R.I.P les salons T-T)  
  Oui donc à Brest en mai, au salon du livre à Vire en juin. Normalement à Mons ainsi que des dédicaces dont je n’ai pas encore les dates exactes.
  • Avez-vous un message pour vos lecteurs ?
  Comme pour Ciara, merci à vous, car sans votre présence, vos lectures, vos avis, il n’y a pas d’auteur, juste des lignes sur des cahiers…

Je vous remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

N'hésitez pas à aller jeter un œil sur mes chroniques de Féérélia (et ses différents tomes) et Cours après moi la poisse! Zut, elle est devant

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Interview de Charles Hanne

3/30/2020

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Bonjour Charles! Comme vous le savez, vous êtes le huitième auteur à vous faire interviewer. Je vous remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.

  • Pouvez-vous vous présenter s’il vous plaît ?
Je m’appelle Charles HANNE, je suis un parisien de 36 ans exilé à la campagne depuis une petite dizaine d’année. Je suis venu vivre dans l’Yonne pour trouver le calme et la sérénité dont j’avais besoin, ne supportant plus le stress de la ville. J’ai deux enfants, à qui je dis toujours de faire ce qui leur plait, à condition de le faire à fond. C’est pourquoi je veux montrer l’exemple, et même si ça ne marche pas, il faut ESSAYER ! 
  • Qu’est-ce qui vous a décidé à vous lancer dans la publication de votre premier roman ?
Ca faisait longtemps que je voulais me lancer, j’ai toujours aimé poser les mots comme ils viennent dans mon esprit en y mettant du sens, mais sans jamais oser… J’ai écrit il y a deux ans un texte à ma compagne qui l’a touché, et je me suis dis que je n’étais peut être pas trop mauvais… Et qu’il était temps, que j’avais acquis une maturité nécessaire à l’écriture. Je ne dis pas qu’il faut être vieux pour écrire mais il faut avoir du vécu. Divorce, licenciement, deuil, travail, enfants sont autant d’étapes qui nous donnent de la maturité.
  • Pouvez-vous nous parler de votre premier roman ?
J’ai réalisé mon premier livre après 15 ans de commerce toujours sur les podiums, je voulais transmettre aux commerciaux en herbe mes astuces et mes techniques pour réussir à faire leurs chiffres. Mais au-delà de l’atteinte des objectifs, ce recueil s’adresse à toutes les personnes comme nous auteurs qui se lancent, ou je donne des pistes, comment développer un business et par-dessus tout, comment ne jamais baisser les bras, et comment garder une pêche d’enfer quoi qu’il arrive !
  • Qu’avez-vous ressenti lors de la publication de votre premier livre?
Je dois avouer que ça ma fait bizarre quand j’ai rangé « La vente aux tripes » dans ma bibliothèque. Tant que c’est des mots sur un clavier, ce n’est pas vraiment réel. Mais quand vous avez votre « bébé » dans les mains, tout prend un sens… « Ca y est, j’ai fait mon livre ». J’ai fait ce livre un peu comme un « devoir » de transmission, maintenant, je veux m’éclater et parler de ce que j’ai envie, sans me mettre aucune barrière.
  • Le 1er avril sort votre deuxième roman « Je voulais juste t’aimer », pouvez-vous nous en parler ?
 Ce premier roman me tenait à cœur car il traite d’un fléau destructeur de couple, présent sous de nombreux toits, la jalousie maladive, les pervers narcissiques, la violence conjugale… autant de terme qui amènent à des drames, des dépressions, des femmes qui sourient aux soirées camouflant leur bourreau.
Je veux montrer à quel point la jalousie n’apporte rien, au contraire ! Et prévenir les femmes, avec mon regard d’homme, de prendre conscience des manipulations dangereuses.
  • Pourquoi vous êtes-vous dirigé sur ce thème pour votre second livre ?
Par ce que j’ai vu trop de couples autour de moi se détruire à cause de la jalousie, et je sais que la volonté de contrôler l’être aimé, n’apporte que sa fuite. Et j’ai l’espoir que quelques hommes lisent mes mots, et ouvrent les yeux sur la chance qu’ils ont avant qu’il ne soit trop tard.
  • Avez-vous un personnage que vous souhaitez nous présenter ? Et qu’aimeriez-vous lui dire ?
Marie Lafont est mon héroïne, et j’aimerai lui dire de laisser partir Pierre de sa chambre d’adolescente ;-)
  • Depuis quand écrivez-vous ?
« Pour de vrai », depuis un an. Pour de faux, depuis le collège.
  • D’où vous vient cette passion ?
J’adorais les rédactions au lycée, et principalement une dans laquelle je m’étais mis dans la peau d’un poilu de 14/18. Elle m’a marquée, et j’ai pris conscience de la force des mots.
  • Parlez-nous de vos autres passions…
Je fais de la détection de loisir (détecteur de métaux), j’aime ce loisir, car on retrouve l’excitation de la chasse au trésor quand nous étions gamins, et surtout le contact avec la nature et le grand air ! Il faut savoir respirer !
  • Avez-vous toujours rêvé de devenir auteur ? 
 Pas toujours, surtout depuis 1 an, je m’éclate ! Je caresse le rêve d’être contacter par un éditeur.
  • Avez-vous des rituels d’écriture ?
Mon moment préféré pour écrire est le soir avec un petit verre de Cointreau, ou le matin avec un bon café, mais surtout… Dans le calme ! 
  • Avez-vous un objet fétiche ?
Non je n’ai pas d’objets « gri-gri », mais plutôt un fond de jazz, la vue sur la nature, et la chaleur du poêle à granules dans le dos.
  • Faites-vous lire vos romans à votre entourage ? Si oui, appréhendez-vous leurs réactions ?
Le premier oui, mais pas le deuxième, je ne veux pas être influencé.
  • D’où vous vient votre inspiration ?
Des rencontres de tous les jours, de mes enfants, de ma compagne, de ma famille, de ma vie, de mes marées hautes et basses… Et aussi d’une cervelle qui tourne sans arrêt ! ;-) 
  • Avez-vous un modèle ? 
Marc Lévy est devenu auteur reconnu à 38 ans, j’en ai 36… je me dis qu’il est l’heure !
  • Quels sont vos genres de livres préférés ?
J’apprécie les livres d’histoires, de coaching personnel, d’horreur, et surtout… Les livres qui nous font voyager, rêver, rire et pleurer. Je vais plus apprécier un auteur qu’un genre. Vous n’êtes pas obligé d’aimer le rock and roll, mais il y a bien une chanson de Johnny que vous fredonnez en soirée non ?
  • Quels sont vos auteurs et romans préférés ?
Henri Vincenot, Stephen King, Levy, Musso, Giordano, Valognes, Mathieu Ricard, La ligne verte, La billebaude, Alain Cloarec, Jean Pierre Fontaine, il y en a trop… ;-)) 
  • Si vous pouviez passer une soirée avec un auteur qui serait-il ? Que feriez-vous avec ? 
Je boirais un verre avec le regretté Vincenot pour qu’il m’apprenne à décrire un paysage avec la magie dont il avait le secret.
  • Avez-vous d’autres projets d’écriture ? 
 A peu près 1 par jour ! Les idées foisonnent, je pose tout ça sur un carnet et je fais des regroupements, il faut que je canalise toutes mes idées… Mais j’en ai 2 sérieux.
  • Des salons du livre déjà prévus pour vous ? Où aurons-nous la chance de vous rencontrer ?
Je suis invité au salon du Livre de Migennes, le plus grand de l’Yonne qui se tient fin 2021. J’y serai présent, bien évidement.
  • Avez-vous un message pour vos lecteurs ?
Si je suis mauvais il faut me le dire, et si ça vous plait, il faut absolument me le dire ! ;-) Je veux être en contact avec lecteurs.
Et bien entendu, me rejoindre sur ma page FB Charles Hanne Auteur, une vraie zone d’échange et de contact !

Je vous remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Je vous invite à rejoindre Charles Hanne sur sa page Facebook: https://www.facebook.com/charleshanne89/

Retrouvez ma chronique sur "Je voulais juste t'aimer" sur le blog.

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Interview de Frédéric Livyns

1/20/2020

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Bonjour Frédéric ! Comme vous le savez, vous êtes le septième auteur à vous faire interviewer. Je vous remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.

Frédéric: 
C’est moi qui vous remercie d’avoir passé tant de temps pour ce questionnaire. ☺​
  • Pouvez-vous vous présenter s’il vous plaît ?
Je m’appelle Frédéric Livyns, auteur de romans et nouvelles fantastiques. J’écris également pour les plus petits sous le pseudonyme de Livéric. Je suis Belge, papa de trois magnifiques enfants et je vis non loin de la frontière française.
  • Qu’est-ce qui vous a décidé à vous lancer dans la publication de votre premier roman ? 
Le hasard a fait les choses à ma place. J’écrivais en solitaire, sans intention consciente d’être publié et c’est un ami qui venait de fonder sa maison d’édition qui m’a mis le pied à l’étrier il y a 20 ans. Depuis, je me suis pris au jeu.

  • Pouvez-vous nous en parler ?
Il n’avait rien à voir avec ce que je fais aujourd’hui… quoique…
C’était une chronique sociale noire qui se déroulait à travers les yeux d’un suicidaire. Un roman coup de poing comme l’avait qualifié à l’époque mon éditeur.
  • Qu’avez-vous ressenti lors de la publication de votre premier livre ?
Une fierté immense de tenir ce premier bébé dans les mains. On a du mal à réaliser.

  • Ressentez-vous toujours la même chose lors de la parution de vos romans ?
Bien sûr. C’est toujours un stress immense de « jeter en pâture » une nouvelle histoire aux lecteurs. Cela nécessite un énorme investissement temporel et émotionnel donc je flippe un peu à chaque fois. Mais je suis toujours très heureux au final. C’est une pression positive.

  • Depuis quand écrivez-vous ?
J’ai commencé à écrire de petits textes vers l’âge de 12 ans. L’écriture fait partie de ma vie, elle est ma seconde respiration.

  • D’où vous vient cette passion ?
J’ai eu le déclic en lisant Serge Brussolo et Graham Masterton. Ils m’ont tellement emporté (et terrifié) avec leurs romans que j’ai eu envie de prendre la plume à mon tour.
  • Vous êtes-vous directement dirigé vers le genre horrifique ? 
Oui et non. Mon premier roman dont je parle plus haut s’appelait Phero Nexafreuse (anagramme d’Orphée aux enfers) et était plus social même si une forte noirceur transparaissait de certaines scènes. Le second s’appelait Matriarcat et était un hommage à François Mauriac dont je suis également fan. Mais, ceci dit, j’écris plus de fantastique que d’horrifique ;-)
  • Pourquoi avoir choisi ce genre ? 
Je ne l’ai pas choisi, c’est lui qui m’a choisi. Il s’est imposé naturellement. J’ai toujours adoré lire du fantastique et le reste a découlé sans que je ne doive forcer quoi que ce soit.
  • Parlez-nous de vos autres passions…
Il y a la musique ! Impossible de faire ne serait-ce qu’une journée sans en écouter. J’ai découvert le heavy-metal en 1982 avec Iron Maiden et son album mythique « The number of the beast ». J’ai choppé le virus et, depuis, il ne m’a jamais quitté.
Et les films aussi, bien sûr. Je peux visionner des tonnes de films, du chef d’œuvre au nanar absolu.
  • Avez-vous toujours rêvé de devenir auteur ? 
Dès que j’ai pris la plume, j’ai écrit. Je ne me suis pas dit : je serai auteur, je vais réussir. L’écriture me comblait à elle seule. Le hasard a fait que je le suis devenu et c’est une aventure merveilleuse avec ses hauts et ses bas.
  • Avez-vous des rituels d’écriture ?
Je fume trop et bois trop de cafés lol.
  • Faites-vous lire vos romans à votre entourage ? Si oui, appréhendez-vous leurs réactions ?
J’ai 3 bêta-lecteurs qui ne m’épargnent pas. Et oui, j’appréhende leurs retours. ☺
  • D’où vous vient votre inspiration ?
De la vie de tous les jours, de ce que je lis ou visionne. C’est pareil pour chaque auteur. On doit se nourrir pour bien écrire.
  • Avez-vous un modèle ? 
Deux en fait. ;-) Graham Masterton et Serge Brussolo. D’autres m’ont influencé fortement mais ces deux auteurs sont les plus importants.
  • Quels sont vos genres de livres préférés ?
Je lis de tout, de la poésie à la philo en passant par le théâtre mais mes genres de prédilection restent la SF et le fantastique.
  • Quels sont vos auteurs et romans préférés ?
Je vais faire une liste non exhaustive, sinon il va y avoir 10 pages lol.
— Serge Brussolo : Catacombes, Les lutteurs immobiles, Le vent noir, la saga des Sigrid et des Peggy Sue, la meute… trop pour tous les citer.
— Graham Masterton : Le djinn, La maison de chair, Démences, Le diable en gris, Tengu…
— Dean Koontz : La cache du diable, La nuit des cafards, Spectres, La maison interdite…
— Stephen King : Shining, Danse macabre, Carrie, Ca, Simetierre…

Sinon je citerai aussi Jean Ray, Thomas Owen, Jack Vance, Abraham Merrit, Clive Barker, Clifford D. Simak, Richard Matheson, Richard Bessière, Kurt Steiner, Maurice Limat, Robert Clauzel…
  • Avez-vous d’autres projets d’écriture ? 
J’ai toujours plein de projets d’écriture. ;-)
Au niveau des parutions, l’année 2020 verra naître certainement :
— Oxana – L’intégrale, roman urban fantasy, aux éditions du Petit caveau.
— Frayeurs, recueil de nouvelles pour enfants, chez Sema éditions.
— Le maudit, roman fantastique jeunesse écrit en collaboration avec Michaël Schoonjans chez Sema éditions.
D’autres projets sont en cours d’écriture pour le Héron d’argent, Lune écarlate, Sema, Nutty Sheep, Armada… et verront le jour entre 2020 et 2022.
  • Des salons du livre déjà prévus pour vous ? Où aurons-nous la chance de vous rencontrer ?
Je serai avec certitude à la Foire du livre de Bruxelles et peut-être au BIFFF pour la Belgique. Je serai également au Fantastic’art de Maubeuge et au salon de Trith saint léger pour la France.
  • Que ressentez-vous lorsque vous rencontrez vos lecteurs ?
C’est toujours une joie immense de rencontrer des lecteurs ! C’est grâce à eux que j’ai la chance de m’épanouir dans ma passion. 
  • Avez-vous un message pour vos lecteurs ?
Tout simplement merci ! Car tout ce qui m’arrive, c’est à vous que je le dois !
  • Mon petit message pour vous : L’horreur est un genre spécifique que peu d’auteurs arrivent à très bien manier cependant vous avez une plume qui convient parfaitement à ce style car elle nous transmet toutes les émotions requises et nous enferme réellement notre vos univers. Vous arrivez à construire l’ambiance nécessaire et à conduire le lecteur là où vous voulez. Je suis une vraie fan de vos écrits et je suis ravie d’avoir eu la chance de vous rencontrer lors de Mon’s Livre 2019, ce fût une rencontre géniale que je n’oublierai jamais. Je vous remercie pour votre gentillesse. Et j’ai hâte de lire votre prochain roman !
Je suis très heureux de vous avoir rencontrée également ! Et merci beaucoup pour ces compliments qui me vont droit au cœur ! 

Je te remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Frédéric: Et, encore une fois, c’est moi qui te remercie. ;-)

Retrouvez mes chroniques sur ses romans ici: Les Initiés, L'Obscur et Murmures d'ombre.

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Interview de Cendrine Roca

10/21/2019

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​​Bonjour Cendrine ! Comme tu le sais, tu es la sixième autrice à te faire interviewer. Je te remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.

Cendrine: Bonjour Maria-Magdalena ,
Merci à toi pour cet intérêt voué aux mots et leurs auteurs .

Peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Cendrine, 44 ans, Mariée et Maman d’un jeune homme de 18 ans . Je travaille dans l’aide sociale . Et à mes heures, j’écris .

  • Qu’est-ce qui t’a décidé à te lancer dans la publication de ton premier roman ?
Je suivais à l’époque, via le réseau social Facebook, l’avancée de quelques auteurs . Notamment, des indépendants . En parallèle , je commençais juste à écrire . Quelques scènes par ci par là, sans réellement de sens . J’ai toujours aimé les mots , les manier . Ils ont tant de poids . Puis l’histoire d’Alexandrine est arrivée dans mon crâne . Elle débordait . Fallait que je l’exprime . Et alors que j’ai déposé le premier mot , je ne me suis plus arrêtée . Pourtant, j’étais pleine de doutes . Ecrire une histoire complète , une matière concrète et réaliste , aboutir ce projet farfelu me paraissait tellement invraisemblable . Mais les mots sont finalement intarissables . Plus j’avançais , plus je réalisais que je parvenais progressivement au bout . Et la question s’est posée : ‘ Pourquoi pas moi ? ‘

  • Peux-tu nous parler de « Et si l’aube nous appartenait » ?
‘Et si l’aube nous appartenait ‘ est l’histoire d’Alexandrine , bientôt 40 ans , veuve , Maman d’un jeune homme , qui vit son existence de façon routinière , bien à l’abri des sentiments , rythmée par des sorties avec ses amis , Clarisse et Franck . Mais un jour, l’amour la surprend . Impromptu et passionnel . Là où il n’aurait jamais dû naître . L’éphémère est leur destin . Mais l’amour reste le seul détenteur du secret de ses miracles .

  • Qu’as-tu ressenti lors de la publication de ton premier livre ?
C’est difficilement descriptible. C’est si intense. Un véritable cocktail de joie, de fierté, de bonheur , d’appréhension et de craintes aussi ! J’ai dû relire des dizaines de fois mon nom sur la couverture . Puis, j’ai réalisé que je me tenais au bord de la falaise : ça y est , il allait être lu. Allais-je en tomber ? Ce concentré de mes mots que je tenais entre mes mains représentait également tant de sacrifices . Des heures d’écriture, des journées rigoureusement organisées et des nuits sans sommeil. L’épuisement me guettait. Tous ces sentiments et émotions divers s’entrechoquaient en moi et explosaient par les larmes . Le premier exemplaire que j’ai tiré de la palette m’était indiscutablement destinée . Le second, ma Maman l’a embarqué illico. Quelle satisfaction et quel honneur de lui offrir ! Elle a été ma première lectrice.
  • Ressens-tu toujours la même chose lors de la parution de tes romans ?
J’ai abordé différemment la parution du second tome . D’une part parce que je l’ai découvert sur le stand de mon éditeur du Salon du Livre de Paris 2018 où il était présent en exclusivité. J’étais donc entouré . La ‘rencontre’ n’a pas été intimiste . Et d’autre part parce que même très émue , rien n’est venu égaler la découverte du premier .
  • Depuis quand écris-tu ?
Adolescente, je pratiquais la rime . J’ai d’ailleurs remporté un concours organisé par mon collège . Mais j’étais bien trop timide pour me rendre à la remise des prix . Je griffonnais ça et là parfois pour déverser . De tempérament assez réservé , l’écriture a toujours été pour moi un précieux moyen d’expression . Puis, j’ai commencé à coucher de brèves scènes sans but précis . Juste par amour des mots . Et enfin, l’histoire d’Alexandrine s’est pointée…
  • D’où te vient cette passion ?​
J’aime les mots . Leurs connotations . Leurs poids . Leurs résonnances . Leurs empreintes . J’aime les manier, les lier, les maîtriser . Simplement . Je suis également une amoureuse éperdue de l’amour . Ils se sont rejoints , comme une évidence , dans mes romans .
  • Parle-nous de tes autres passions…
J’aime lire, le cinéma , la musique , la photo . En fait , j’aime être emportée . Je me plaît à côtoyer les émotions . Je m’exprime par l’image quasiment quotidiennement sur Facebook et depuis peu sur Instagram .
  • As-tu toujours rêvé de devenir auteur ?
Non . Je n’aurai pas eu cette prétention .
  • As-tu des rituels d’écriture ?​
Pas vraiment . Je peux écrire n’importe où , n’importe quand . Suffit d’avoir ma tablette et mes écouteurs . J’écris en musique mais elle ne m’est pas indispensable pour autant . Lorsque j’erre parmi les mots, le monde pourrait s’écrouler, je ne suis pas certaine de relever la tête . Je quitte la terre et suis comme confinée dans ce voyage .
  • As-tu besoin d’une ambiance particulière pour écrire ?​
J’écoute des chansons moroses , tristes , en écrivant . J’ai besoin de cette atmosphère pour plonger dans mon univers . Et j’ai pu constater qu’il m’était plus difficile d’écrire le bonheur que la souffrance et la peine .
  • Fais-tu lire tes romans à ton entourage ? Si oui, appréhendes-tu leurs réactions?
Pour le 1er tome, personne n’a eu accès à mes écrits , hormis mon éditrice , avant publication . Je ne fonctionne pas avec des bêtas . J’ai lu 2/3 phrases à ma meilleure amie pour lui donner la tonalité de ma plume , mais pas un de mes proches n’a su le fond et la forme de l’histoire . C’était ma bulle . Aucune autorisation de la pénétrer n’a été délivrée . Et tous ont respecté ma volonté . Je ne les remercierai jamais assez . Pour le second tome, ma sœur m’avait fait promettre de lui transmettre mon manuscrit sitôt achevé . Normalement, elle n’entreprend jamais une lecture incomplète . Elle attend que l’intégralité d’une saga soit parue pour l’entamer . Elle a fait exception pour moi . Et m’a tellement maudite . Je lui devais bien ça . La seule à l’avoir lu avant parution .
  • D’où te vient ton inspiration ?​
Aucune idée . Je ne sais absolument pas d’où m’est venue l’histoire d’Alexandrine . Elle a surgi comme une vieille amie longuement côtoyée . En revanche, il y a beaucoup de lien en rapport avec ma personne dans mes romans . Prénoms, Lieux…
  • As-tu un modèle ?​
Un modèle ? Non . J’essaye de composer avec ce qui m’a été inculqué .
  • Quels sont tes genres de livres préférés ?​
J’aime parcourir les profondeurs humaines. Les personnes cassées , marquées par la vie .
  • Quels sont tes auteurs et romans préférés ?​
Les noces barbares de Yann Quéffelec. Lu alors adolescente, il m’a vraiment marquée. Plus récemment, The missing Obsession de Angel Arekin, superbe.
  • As-tu d’autres projets d’écriture ?
J’ai repris la plume , en effet , après l’avoir délaissé longtemps . Mais, sincèrement , je ne sais pas encore ce à quoi cela aboutira . J’aime écrire . Et pour le moment, c’est simplement pour m’adonner à ce plaisir.
En revanche, je participe à un projet solidaire avec d’autres auteurs qui verra le jour pour les fêtes de fin d’année. Un collectif pour une belle initiative de base . Mais pour le moment je ne peux en dire plus. La promo sera faite en temps voulu. 
  • Des salons du livre déjà prévus pour toi ? Où aurons-nous la chance de te rencontrer ?
Je serai présente en Septembre au Salon du Livre de Pusignan (69). En Juin , j’étais présente à celui de Grenoble . Pas de Mons pour moi, cette année . Par contre, je serai à celui de Paris en Mars 2020 . Pas de séance de dédicaces de prévue normalement, pas d’actualité nouvelle mais je reste disponible pour les rencontres . Et elles sont éternellement magiques .
  • Que ressens-tu lorsque tu rencontres tes lecteurs ?
C’est du bonheur à l’état brut . Je garde précieusement en moi, le souvenir impérissable de ma dernière séance de dédicaces au Salon de Paris . Je crois que mes pieds ne touchaient plus le sol . Les personnes qui viennent à vous n’ont pas conscience de ce qu’elles apportent , donnent, offrent , en ces quelques mots échangés et ces embrassades amicales . J’aime à penser que je l’ai connu . Et je chéris ces souvenirs . Même si je ne publie plus jamais, j’ai vécu la plus belle des aventures . Je suis définitivement riche de tous ces instants .
  • As-tu un message pour tes lecteurs ?
Merci . Court, bref, mais Je crois qu’il résume tout . Et je ne pourrai jamais assez le répéter .

Je te remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.​

Retrouvez mes deux chroniques sur les deux tomes de "Et si l'aube nous appartenait" sur le blog.

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Interview de Stéphanie Delecroix

4/19/2019

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​​Bonjour Stéphanie ! Comme tu le sais, tu es la cinquième autrice à te faire interviewer. Je te remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.

     Peux-tu te présenter s’il te plaît?
     Stéphanie, auteure à mes heures perdues quand mes cinq enfants m’en laissent le temps lol J’ai actuellement sept romans à mon actif. 
  • A ce jour, tu as publié plusieurs romans, en as-tu un que tu préfères ? Si oui, lequel et pourquoi ?
Ils ont tous quelque chose de spécial que j’aime. Difficile de choisir. Si je ne devais en garder qu’un, ce serait la poupée. 
  • Qu’est-ce qui t’a décidé à te lancer dans la publication de ton premier roman ? Quel était ce premier roman ? 
Ma fille m’a parlée de l’application Wattpad. Même si j’aimais ça, cela faisait des années que je n’avais pas ressenti le bien être que m’apporte le fait de créer mes histoires. Puis Broken ice à plu a beaucoup de lectrice qui m’ont encouragée à publier l’histoire, je me suis lancée…
  • Qu’as-tu ressenti lors de la publication de ton premier livre ?
Une trouille monstre, un doute énorme, de la déception un peu. 
  • Ressens-tu toujours la même chose lors de la parution de tes romans ?
Pour la trouille, oui. Le stress est toujours total avant chaque parution. Mais je prends plus de recul vis-à-vis des réactions de lecteur qu’auparavant. 
  • Depuis quand écris-tu ?
Depuis que je sais écrire ! lol sinon je me suis réellement relancée dans l’édition en mai l’année dernière. 
  • D’où te vient cette passion ?
Je ne sais pas. Je dirai que le fait de m’échapper, de souffler, de vivre des aventures et de découvrir de nouvelles choses à travers mes histoire est un énorme plaisir. Accompagnée d’un fondant au chocolat…c’est le nirvana ! 
  • Parle-nous de tes autres passions...
La lecture car même si je lis moins, je ne peux pas m’en passer et la danse.
  • As-tu toujours rêvé de devenir auteur ? 
 Je suis quelqu’un qui manque de confiance. Je doute toujours, donc non, je ne m’en serai pas cru capable. D’ailleurs, il fut un temps où je voulais être journaliste mais ça m’est vite passé ! 
  • As-tu des rituels d’écriture ?
Mon café ! Indispensable ! 
  • As-tu besoin d’une ambiance particulière pour écrire ?
Pas du tout ! Du moment que j’ai le pc, ma trame, hop, je suis partie. 
  • Fais-tu lire tes romans à ton entourage ? Si oui, appréhendes-tu leurs réactions ?
Au début, non. Je ne l’ai pas proposé tout de suite. Puis peu à peu, certains de mes proches se sont intéressés à ce que j’écrivais. Aujourd’hui, ils me suivent à chaque sortie, je ne les remercierai jamais assez. 
  • D’où te vient ton inspiration ?
     De tout ! Mes enfants, une image, une musique, une peinture…c’est très troublant parfois. Imaginez-vous au toilette avec une horrible envie d’écrire une idée… 😉
  • As-tu un modèle ? 
Pas du tout. 
  • Quels sont tes genres de livres préférés ?
La romance, l’urban fantasy, la bit-lit…de tout tant qu’il y a de l’amour ! 
  • Quels sont tes auteurs et romans préférés ?
Stephen King, incontestablement ! J’ai énormément de coup de cœur. Les derniers en date : Missing obsession de Angel Arekin… Love nevers dies de Ludivine Delaune et Delinda Dane…Blackbird de Marie H.J…y’en a de trop ! On sera encore là demain ! 
  • Des salons du livre déjà prévus pour toi ? Où aurons-nous la chance de te rencontrer ?
Je serai le 27 avril à la rencontre autour du livre d’Aubigny en Artois. Puis à Mon’s livre. Je ne vous raconte pas le stress…
  • Que ressens-tu lorsque tu rencontres tes lecteurs ?
J’ai envie de leur dire : Allez, on va boire un café tranquille ! Echanger avec les lecteurs est un pur plaisir, si je pouvais prolonger ce moment, je n’hésiterais pas. En salon, c’est le paradis mais parfois, on est vite débordée. J’ai toujours peur de laisser quelqu’un en retrait alors que je veux tout savoir ! Après il y a des lecteurs qui me touchent énormément lors de leurs échanges. J’ai hâte de renouveler l’expérience ! 
  • As-tu un message pour tes lecteurs ?
N’hésitez pas à venir discuter en mp ! Je serai heureuse de vous répondre. Merci beaucoup de m’avoir permis de répondre à cet interview 😊

Je te remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Pour retrouver ma chronique sur un de ses romans c'est par ici: Light and Darkness.

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Interview d'Amélie Romarin

4/12/2019

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Bonjour Amélie ! Comme tu le sais, tu es la quatrième autrice à te faire interviewer. Je te remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.

Amélie: Avec plaisir!

   Peux-tu te présenter s’il te plaît ?
Bien sûr ! Je m’appelle Amélie, j’ai 26 ans, je suis bibliothécaire. Je travaille dans une bibliothèque universitaire depuis environ 7 mois, j’aime beaucoup ce métier, côtoyer les étudiants, les aider dans leurs recherches, etc.
  • A ce jour, tu as publié plusieurs romans, en as-tu un que tu préfères ? Si oui, lequel et pourquoi ?
Je représente le cliché typique de l’auteur qui n’aime pas son travail… mais si je devais en préférer un, je pense que ce serait « Millie ». J’en suis étonnamment un peu fière et, même si mes proches ne l’ont peut-être pas saisi, c’est une histoire où je leur rends hommage.
  • Qu’est-ce qui t’a décidé à te lancer dans la publication de ton premier roman ?
En vérité, j’ai fait ça sur un coup de tête ! Ma maman m’a toujours demandé si je comptais publier un jour, j’avoue que c’était mon rêve le plus fou. Mais je n’osais pas. Je pense que « Le Dernier Train » a été la première histoire dont j’ai pu me sentir fière, je venais de le terminer et je me suis dit : « Amé, ne réfléchis pas trop. Envoie-le, on verra bien ce qui se passe ! ».
  • Qu’as-tu ressenti lors de la publication de ton premier livre « Le Dernier Train » ?
Beaucoup d’émotions ! J’avais du mal à y croire, j’ai pleuré de joie. C’était un rêve qui se réalisait enfin !
  • Depuis quand écris-tu ?
J’écris depuis que j’ai 7 ans.
  • D’où te vient cette passion ?
Elle est venue un peu sans prévenir. J’aimais beaucoup écouter ma maman raconter des histoires et je m’étais dit que je lirais bien mes propres histoires à mes petits cousins et ma sœur. Au final, je n’ai jamais osé le faire, et seule ma sœur a lu toutes mes « œuvres ».
  • Parle-nous de tes autres passions…
J’ai eu une période cinéphile qui est un peu retombée, je l’avoue, mais j’aime découvrir des films peu connus.
J’aime aussi lire, évidemment !
Je suis une grande fan de danse, j’ai fait de la danse classique pendant 7 ans, ainsi que de la danse moderne et du hip hop. J’adore regarder des chorégraphies, notamment celles des clips de pop coréenne.
La danse relie la musique. Je ne joue d’aucun instrument, mais je suis une personne très musicale, je dirais. J’écoute beaucoup de musique (au travail, en écrivant, sur la route, …).
  • Pourquoi avoir choisi une maison d’édition plutôt que l’autoédition ?
Edilivre est une maison d’édition un peu entre les deux. Les deux autres sont à compte d’éditeur.
Pourquoi ce choix ? Tout simplement parce qu’au moment de la publication de mon premier roman, j’étais encore étudiante, et le budget de l’autoédition, sans avoir vraiment de revenu, ça fait mal au compte bancaire…
J’avoue avoir choisi des éditeurs à compte d’éditeur par facilité (ce sont eux qui gèrent tout). Mais mon expérience chez Edilivre m’a permis de créer des liens avec des chroniqueurs, et même avec mes lecteurs, chose qui ne serait peut-être jamais arrivée si j’avais été directement éditée à compte d’éditeur. J’aime le fait de me débrouiller en créant des liens, mais je préfère être aidée dans mes démarches…
  • As-tu des rituels d’écriture ?
Je ne sais pas si cela peut être considéré comme un rituel, mais j’écris dans des carnets, parce que j’aime vraiment l’acte d’écrire en tant que tel. Je retape tout à l’ordinateur petit à petit.
  • As-tu besoin d’une ambiance particulière pour écrire ?
Je crée des playlists qui ont un rapport avec l’histoire (ambiance triste ou joyeuse) et les personnages (leurs goûts musicaux). Disons que ça m’aide à mieux m’imprégner de l’univers que je crée.
  • Fais-tu lire tes romans à ton entourage ? Si oui, appréhendes-tu leurs réactions ?
Je ne les fais pas lire, mais dès que ma famille apprend que je vais publier un livre, ils se l’approprient à sa sortie. J’appréhende leurs réactions, en effet… parce que mes romans ne sont jamais totalement fictifs. J’ai peur de ce qu’ils pourraient penser.
  • D’où te vient ton inspiration ?
De ma vie quotidienne, de mon vécu, des messages que je voudrais faire passer.
Par exemple, « Le Dernier Train » est né de plusieurs mauvaises choses qui m’étaient arrivées (un décès dans la famille, une rupture, …). Mon deuxième roman est né d’un débat en classe, et j’y raconte pas mal de souvenirs d’enfance. Enfin, mon troisième roman relate mon expérience dans le harcèlement scolaire.
  • As-tu un modèle ?
Je ne pense pas avoir de modèle… J’écris comme je le sens,  je ne me base sur le style de personne pour m’aider à écrire.
  • Quels sont tes genres de livres préférés ?
Je suis fan des thrillers psychologiques, j’aime aussi le fantastique, les feel good et les romans pour adolescents.
  • Quels sont tes auteurs et romans préférés ?
Mon auteur préféré et Maître Incontesté est Stephen King. J’ai déjà eu peur en le lisant, mais j’ai surtout appris à le connaître dans « Ecriture : mémoires d’un métier ». Je me suis sentie proche de lui durant ma lecture, et j’aime le fait qu’il s’adresse à ses lecteurs via des lettres dans ses romans.
Mes livres préférés, c’est plus compliqué… Je n’en ai pas vraiment. Je me souviens de certaines réactions que j’ai pu avoir durant certaines lectures, d’avoir fini des romans en 24h, mais ça n’a jamais été assez suffisant pour me faire dire « ça, c’est mon coup de cœur de tous les temps ! »…
Le seul livre que j’ai relu plusieurs fois, c’est « Soldat Peaceful », de Michaël Morpurgo. J’aime ces liens familiaux si forts qui unissent cette famille. Donc, si je devais citer un titre, ce serait celui-là.
  • As-tu d’autres projets d’écriture ?
Petite surprise : j’ai envoyé un manuscrit chez deux éditeurs, j’attends leur réponse.
Et sinon, j’ai pas mal de manuscrits en cours d’écriture, d’autres qui sont terminés mais à peaufiner. Je ne suis pas prête à m’arrêter d’écrire !
  • As-tu un message pour tes lecteurs ?
Un tout grand merci pour votre soutien et enthousiasme, vous illuminez mes journées avec vos avis, petits mots et même avec vos encouragements ! Merci d’être de plus en plus nombreux à me suivre.

Je te remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Amélie: Merci à toi pour cette interview ! =)

Pour retrouver mes chroniques sur ses deux derniers romans parus c'est par ici: Millie et A l'encre de nos maux

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Interview de Laura Wilhelm

4/5/2019

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Bonjour Laura ! Comme tu le sais, tu es la troisième autrice à te faire interviewer. Je te remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande. ​

  • ​Peux-tu te présenter s’il te plaît ?
C’est tout à fait le genre de questions auxquelles j’ai du mal à répondre. Je ne sais pas vraiment ce qui me définit, mais pour faire court, je suis une jeune maman de 31 ans et je gère un restaurant avec mon compagnon.
Ma vie ne me laisse que très peu de temps libre et le peu que j’arrive à avoir est dédié à ma famille et à l’écriture (et à la lecture si j’y arrive)
  • A quel âge as-tu commencé à écrire ? 
Aussi loin que je me souvienne, j’écrivais déjà des histoires quand j’étais en sixième. 
  • D’où te vient cette passion ?
Aucune idée, j’ai toujours baigné dans les livres. Un apprentissage précoce à la lecture, des parents qui m’ont montré l’exemple. Jusqu’au jour où j’ai voulu écrire mes propres livres, au jour où j’ai voulu transmettre ce goût à ma petite sœur. C’est elle qui a été le déclencheur de ma carrière. 
  • Parle-nous de tes autres passions…
Je n’ai pas vraiment le temps pour d’autres passions, mais la lecture (en mode compulsive en plus) est aussi importante pour moi que d’écrire. 
  • Qu’as-tu ressenti lors de la publication de « Azmel » qui est ton premier roman ?
J’ai été agréablement surprise, heureuse et très reconnaissante. Mais j’étais aussi très fière d’avoir donné l’envie de lire à ma petite sœur et j’espérais (et espère encore aujourd’hui) que mes livres auraient le même effet sur d’autres personnes. 
  • D’où t’es venue l’idée d’écrire « Azmel » ? 
A l’époque, je travaillais en apprentissage dans un ancien couvent reconvertit en magnifique hôtel. C’est en côtoyant ce décor pendant quelques années que l’idée à germée dans mon esprit. Vous savez ? Cette aura mystique qui se dégage des monuments de ce genre ? Entre ça et mon envie perpétuelle d’écrire j’ai été servie en inspiration. 
  • Le tome 3 sort prochainement, que ressens-tu ?
J’ai hâte ! 
  • Tu écris une autre série de romans en parallèle « Souvenirs Introuvables », peux-tu nous en parler ? 
Souvenirs Introuvables est une petite série de romans courts (entre 75 et 120 pages par tome) qui fera 4 tomes. Dans chaque livre un point de vue, à la première personne, différent du précédent.
Cette saga raconte l’histoire de Jade, qui se réveille dans un hôpital suite à un accident de parapente. Amnésique, elle tente de retrouver ses souvenirs et décide de réintégrer son ancienne vie. Mais tout ne se passera pas comme prévu et ce qu’elle va découvrir sur elle-même et sur son entourage sera difficile à encaisser. Et si son accident n’en était pas un ? Et si son agresseur revenait à la charge ? S’en sortira-t-elle indemne ?
Cette série est partie du constat que mon entourage ne lit pas beaucoup, alors j’ai voulu écrire un livre court, avec des rebondissements sans tomber dans la niaiserie… Je ne voulais en faire qu’un mais quand j’ai commencé à écrire le premier tome, d’autres idées me sont venues et se sont imbriquées les unes aux autres de façon à ce que j’arrive à prévoir les 3 tomes suivants pour que l’histoire soit vraiment complète. Donc ça restera des romans courts mais oui, il y aura des suites.
D’ailleurs, le tome 2 est sorti hier,  le 4 avril.
  • As-tu des rituels d’écriture ?
Absolument aucun, je fais comme bon me semble, ou je veux et quand je veux☺
  • As-tu besoin d’une ambiance particulière pour écrire ?
Non.
  • Fais-tu lire tes romans à ton entourage ? Si oui, appréhendes-tu leurs réactions ?
Oui mais uniquement à ma famille proche : ma mère et ma sœur en avant-première. Mes frères et mon père attendent la parution officielle car ils préfèrent avoir un livre papier dans les mains ces coquins☺
Et oui j’appréhende un peu, mais comme j’écris pour elles, j’essaie de me caler sur leurs goûts littéraires et d’un coup ça passe mieux haha
  • D’où te vient ton inspiration ?
De tout et partout. Ce que je vais entendre, voir et vivre. 
  • Quels sont tes genres de livres préférés ?
J’affectionne la romance mais particulièrement la romance fantastique ou la dark romance (car je m’ennuie un peu en lisant de la romance classique), j’aime aussi beaucoup la science-fiction, la dystopie et je commence à m’ouvrir aux thrillers.
  • Quels sont tes auteurs et romans préférés ?
En auteurs préférés je peux citer Colleen Hoover et Céline Landressie (Rose morte) en passant par Georgia Caldera (Les larmes rouges/Nos chemins de travers… ) 
  • As-tu d’autres projets d’écriture ?
Déjà lancer la fin d’Azmel et terminer Souvenirs Introuvables. Ensuite oui, deux gros projets de One-Shot me tiennent à cœur mais je ne peux pas en dire beaucoup. Juste que le premier sera une dark romance assez longue et torturée, le second, une dystopie/aventure avec un soupçon de romance. Je vais tenter d’écrire dans différents genres et voir dans le lequel je suis le plus à l’aise, car, le principal est que je m’amuse à l’écrire non ? 
  • As-tu prévu de faire des salons du livre ? 
Pour l’instant non car ma vie professionnelle est plus que chargée, la saison arrive à grands pas et je dois me préparer au mieux tout en trouvant le temps de m’occuper de ma fille. C’est compliqué mais j’espère bientôt.
  • As-tu un message pour tes lecteurs ?
Je souhaiterais leur dire merci tout simplement. Merci d’être là, merci pour leur patience entre deux parutions et merci pour ces mots gentils qui m’encouragent. C’est grâce à eux que je continue ! 

Je te remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Pour retrouver mes chroniques sur ses deux sagas c'est par ici: Azmel et Souvenirs Introuvables.

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Interview d'Emy River

3/29/2019

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Bonjour Emy ! Comme tu le sais, tu es la deuxième autrice à te faire interviewer. Je te remercie d’avoir répondu favorablement à ma demande.


Emy: Bonjour Maria-Magdalena, merci beaucoup de m'avoir convié à cette interview.

  • Peux-tu te présenter s'il te plaît?
Je m'appelle Emilie, j'ai 36 ans et j'ai un grand garçon qui va avoir 14 ans dans un mois. Mon premier roman « Une rencontre surprenante » (Romance entre deux hommes) est sorti le 26 mars 2018 et mon deuxième « Danse avec moi » est sorti le 12 mars 2019. Je suis une auteure en auto-édition. J'écris sous le pseudo Emy River.
  • Ton premier roman était une romance M/M, pourquoi t’être dirigée vers ce genre pour ton tout premier ouvrage ?
Après avoir participé en tant que lectrice à un Salon LGBT en avril 2017, j'ai été très touchée par le recueil de nouvelles qui était vendu au profit de l'Association Le Refuge et l'idée d'un couple avec deux hommes ne m'a plus quitté. Au départ, j'ai commencé à écrire une romance young adult, puis un début avec d'autres personnages liés à mon premier écrit. Puis finalement, j'ai eu un flash et le rapprochement entre Logan et Maxime s'est fait naturellement.
  • Qu’as-tu ressenti lors de la publication de « Une rencontre surprenante » ?
Je m'en rappelle encore comme si c'était hier. Pourtant, ça va faire un an à la fin du mois de mars. Mon roman était en précommandes depuis 15 jours. Ils ont été les plus longs de ma vie. Je n'en voyais plus la fin. Puis, finalement le grand jour est arrivé. J'étais euphorique toute la journée, le sourire aux lèvres. J'appréhendais beaucoup, car le milieu du M/M n'est pas facile. Puis, les premiers avis positifs des chroniqueuses sont tombés et ça m'a rassuré.
  • Ton deuxième roman est sorti le 12 mars, peux-tu nous en dire plus ?
Oui, c'est une nouvelle aventure complètement différente, mais tout aussi exaltante. Ce deuxième roman est à l'opposé d'Une rencontre surprenante. Tout d'abord parce que c'est une romance M/F (Homme/femme) et deuxièmement parce qu'il aborde des sujets plus sombres.
Il se passe dans le milieu de la danse et j'y fais des références au film « Dirty Dancing » qui est mon film préféré.
  • As-tu ressenti la même chose lors de la parution de « Danse avec moi » que lorsque ton premier livre est sorti ?
Non, pas du tout. J'ai tellement galéré avant sa publication, que finalement j'étais très stressée, même trop. Je n'ai pas eu le temps d'appréhender la sortie, car elle s'est faite dès que la personne qui m'a fait ma mise en page a eu fini. Et Amazon a été très rapide pour la mise en ligne. Une fois fait, j'ai été soulagée, car il été enfin là. J'y étais arrivée !
  • Depuis quand écris-tu ?
J'ai commencé à écrire en mai 2017.
  • D’où te vient cette passion ?
Lorsque j'étais adolescente, j'écrivais des poèmes et j'avais ce rêve d'écrire mon propre roman.
  • Parle-nous de tes autres passions…
Mise à part l'écriture, c'est en premier lieu la lecture. Je lis énormément depuis toujours, mais encore plus depuis que je suis chroniqueuse. Sinon, j'aime beaucoup visiter, aller au cinéma, mais aussi j'adore regarder des séries.
  • Pourquoi avoir choisi l’autoédition plutôt qu’une maison d’édition ?
On m'a conseillé de publier comme ça et je dois dire que ça m'arrangeait, car j'avais peur des retours des Maisons d'éditions.
  • As-tu des rituels d’écriture ?
Oui, un. Maintenant, quand je vais me coucher, je prends toujours un carnet ou des feuilles et un stylo.
  • As-tu besoin d’une ambiance particulière pour écrire ?
En général, j'écris lorsqu'il règne un silence complet. Par contre, lors de l'écriture de « Danse avec moi », j'ai beaucoup écouté sur Youtube les chansons du film Dirty Dancing.
  • Fais-tu lire tes romans à ton entourage ? Si oui, appréhendes-tu leurs réactions ?
Oui, mon entourage a lu mon premier roman et oui, j'appréhendais énormément leurs réactions.
  • D’où te vient ton inspiration ?
Mon inspiration vient de ce que je vois ou entends dans mon quotidien, des chansons que j'écoute...
  • Quels sont tes genres de livres préférés ?
Mon genre préféré est la romance.
  • Quels sont tes auteurs et romans préférés ?
Pour les auteures françaises : les romans de Karine Vitelli, Emilie Collins, Anne Cantore, Marie Sorel, Ludivine Delaune, Marie Luny...
Pour les auteures américaines : les romans de Brittainy C Cherry, Mille baisers pour un garçon de Tillie Cole,  Archer's voice de Mia Sheridan, Maybe Someday, Jamais plus et November 9 de Colleen Hoover et bien sûr Marked Men (avec une préférence pour la Saison 5 Rowdy) de Jay Crownover...
  • As-tu d’autres projets d’écriture ?
J'ai écrit une nouvelle « Mon Noël » qui paraîtra au mois de mai dans un recueil de nouvelles. Sinon, j'aimerai reprendre ma romance young adult « Une rencontre inattendue » et j'aimerai aussi avancer sur un début d'histoire que j'ai commencé.
  • As-tu un message pour tes lecteurs ?
Je vous remercie à toutes et à tous pour votre soutien et j'espère que mon nouveau roman « Danse avec moi » vous plaira.

Je te remercie d’avoir participé à cette interview et d’avoir répondu à toutes mes questions.

Emy:  Merci à toi pour ton soutien et ta gentillesse.

Pour retrouver ma chronique sur son premier roman paru en mars 2018 c'est par ici: Une rencontre surprenante

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    Les interviews disponibles: 

    Amélie Romarin
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